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Thierry
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Paroles des chansons

Je suis malade:  
 
Musique: Alice Dona  
autres interprètes: Lara Fabian  
 
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Je ne rêve plus je ne fume plus  
Je n'ai même plus d'histoire  
Je suis sale sans toi je suis laid sans toi  
Je suis comme un orphelin dans un dortoir  
 
Je n'ai plus envie de vivre ma vie  
Ma vie cesse quand tu pars  
Je n'ai plus de vie et même mon lit  
Se transforme en quai de gare  
Quand tu t'en vas  
 
Je suis malade complètement malade  
Comme quand ma mère sortait le soir  
Et qu'elle me laissait seul avec mon désespoir  
 
Je suis malade parfaitement malade  
T'arrives on ne sait jamais quand  
Tu repars on ne sait jamais où  
Et ça va faire bientôt deux ans  
Que tu t'en fous  
 
Comme à un rocher comme à un péché  
Je suis accroché à toi  
Je suis fatigué je suis épuisé  
De faire semblant d'être heureux quand ils sont là  
 
Je bois toutes les nuits mais tous les whiskies  
Pour moi ont le même goût  
Et tous les bateaux portent ton drapeau  
Je ne sais plus où aller tu es partout  
 
Je suis malade complètement malade  
Je verse mon sang dans ton corps  
Et je suis comme un oiseau mort quand toi tu dors  
 
Je suis malade parfaitement malade  
Tu m'as privé de tous mes chants  
Tu m'as vidé de tous mes mots  
Pourtant moi j'avais du talent avant ta peau  
 
Cet amour me tue et si ça continue  
Je crèverai seul avec moi  
Près de ma radio comme un gosse idiot  
Écoutant ma propre voix qui chantera  
 
Je suis malade complètement malade  
Comme quand ma mère sortait le soir  
Et qu'elle me laissait seul avec mon désespoir  
 
Je suis malade c'est ça je suis malade  
Tu m'as privé de tous mes chants  
Tu m'as vidé de tous mes mots  
Et j'ai le cœur complètement malade  
Cerné de barricades t'entends je suis malade  
 
 
 
 
 
L'aigle noir:  
 
 
Musique: Barbara, Catherine Lara  
 
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Un beau jour, ou peut-être une nuit,  
Près d'un lac je m'étais endormie,  
Quand soudain, semblant crever le ciel,  
Et venant de nulle part,  
Surgit un aigle noir,  
 
Lentement, les ailes déployées,  
Lentement, je le vis tournoyer,  
Près de moi, dans un bruissement d'ailes,  
Comme tombé du ciel,  
L'oiseau vint se poser,  
 
Il avait les yeux couleur rubis,  
Et des plumes couleur de la nuit,  
A son front brillant de mille feux,  
L'oiseau roi couronné,  
Portait un diamant bleu,  
 
De son bec il a touché ma joue,  
Dans ma main il a glissé son cou,  
C'est alors que je l'ai reconnu,  
Surgissant du passé,  
Il m'était revenu,  
 
Dis l'oiseau, ô dis, emmène-moi,  
Retournons au pays d'autrefois,  
Comme avant, dans mes rêves d'enfant,  
Pour cueillir en tremblant,  
Des étoiles, des étoiles,  
 
Comme avant, dans mes rêves d'enfant,  
Comme avant, sur un nuage blanc,  
Comme avant, allumer le soleil,  
Etre faiseur de pluie,  
Et faire des merveilles,  
 
L'aigle noir dans un bruissement d'ailes,  
Prit son vol pour regagner le ciel,  
 
Quatre plumes couleur de la nuit  
Une larme ou peut-être un rubis  
J'avais froid, il ne me restait rien  
L'oiseau m'avait laissée  
Seule avec mon chagrin  
 
Un beau jour, ou peut-être une nuit,  
Près d'un lac, je m'étais endormie,  
Quand soudain, semblant crever le ciel,  
Et venant de nulle part,  
Surgit un aigle noir,  
 
Un beau jour, une nuit,  
Près d'un lac, endormie,  
Quand soudain,  
Il venait de nulle part,  
Il surgit, l'aigle noir...  
 
 
 
Mon fils, ma bataille:  
 
 
Paroles et Musique: Daniel Balavoine 1980 "Un autre monde"  
© Editions Barclays-Morris  
note: Reprise Roch Voisine & Francis Cabrel & Julien Clerc dans l'album "Enfoirés en 2000"  
 
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Ça fait longtemps que t'es partie  
Maintenant  
Je t'écoute démonter ma vie  
En pleurant  
Si j'avais su qu'un matin  
Je serai là, sali, jugé, sur un banc  
Par l'ombre d'un corps  
Que j'ai serré si souvent  
Pour un enfant  
 
Oh  
Tu leur dis que mon métier  
C'est du vent  
Qu'on ne sait pas ce que je serai  
Dans un an  
S'ils savaient que pour toi  
Avant de tous les chanteurs j'étais le plus grand  
Et que c'est pour ça  
Que tu voulais un enfant  
Devenu grand  
 
Oh  
Les juges et les lois  
Ça m'fait pas peur  
C'est mon fils ma bataille  
Fallait pas qu'elle s'en aille  
Oh  
Je vais tout casser  
Si vous touchez  
Au fruit de mes entrailles  
Fallait pas qu'elle s'en aille  
 
Bien sûr c'est elle qui l'a porté  
Et pourtant  
C'est moi qui lui construis sa vie lentement  
Tout ce qu'elle peut dire sur moi  
N'est rien à côté du sourire qu'il me tend  
L'absence a ses torts  
Que rien ne défend  
C'est mon enfant  
 
Oh  
Les juges et les lois  
Ça m'fait pas peur  
C'est mon fils ma bataille  
Fallait pas qu'elle s'en aille  
Oh  
Je vais tout casser  
Si vous touchez  
Au fruit de mes entrailles  
Fallait pas qu'elle s'en aille  
{2x}  
 
 
 
Céline Dion 
 
All By Myself  
 
When I was young  
I never needed anyone  
And making love was just for fun  
Those days are gone  
Livin' alone  
I think of all the friends I've known  
When I dial the telephone  
Nobody's home  
 
All by myself  
Don't wanna be  
All by myself  
Anymore  
 
Hard to be sure  
Sometimes I feel so insecure  
And loves so distant and obscure  
Remains the cure  
 
All by myself  
Don't wanna be  
All by myself  
Anymore  
All by myself  
Don't wanna live  
All by myself  
Anymore  
 
When I was young  
I never needed anyone  
Making love was just for fun  
Those days are gone  
 
All by myself  
Don't wanna be  
All by myself  
Anymore  
All by myself  
Don't wanna live  
Oh  
Don't wanna live  
By myself, by myself  
Anymore  
By myself  
Anymore  
Oh  
All by myself  
Don't wanna live  
I never, never, never  
Needed anyone 
 
 
Daniel Balavoine  
 
La vie ne m'apprend rien 
 
Paroles et Musique: Daniel Balavoine 1980 "Un autre monde" 
© Editions Barclays-Morris 
autres interprètes: Liane Foly (Acoustique-1998) 
 
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Qui ose dire qu'il peut m'apprendre les sentiments 
Ou me montrer ce qu'il faut faire pour être grand 
Qui peut changer ce que je porte dans mon sang 
 
Qui a le droit de m'interdire d'être vivant 
De quel côté se trouvent les bons ou les méchants 
Leurs évangiles ont fait de moi un non-croyant 
 
La vie ne m'apprend rien 
Je voulais juste un peu parler, choisir un train 
La vie ne m'apprend rien 
J'aimerai tellement m'accrocher, prendre un chemin 
Prendre un chemin 
 
Mais je n'peux pas, je n'sais pas 
Et je reste planté là 
Les lois ne font plus les hommes 
Mais quelques hommes font la loi 
Et je n'peux pas, je n'sais pas 
Et je reste planté là 
 
À ceux qui croient que mon argent endort ma tête 
Je dis qu'il ne suffit pas d'être pauvre pour être honnête 
Ils croient peut-être que la liberté s'achète 
 
Que reste-t-il des idéaux sous la mitraille 
Quand les prêcheurs sont à l'abri de la bataille 
La vie des morts n'est plus sauvée par des médailles 
 
La vie ne m'apprend rien 
Je voulais juste un peu parler, choisir un train 
La vie ne m'apprend rien 
J'aimerai tellement m'accrocher, prendre un chemin 
Prendre un chemin 
 
Mais je n'peux pas, je n'sais pas 
Et je reste planté là 
Les lois ne font plus les hommes 
Mais quelques hommes font la loi 
Et je n'peux pas, je n'sais pas 
Et je reste planté là 
 
Je n'peux pas, je n'sais pas 
Et je reste planté là 
Les lois ne font plus les hommes 
Mais quelques hommes font la loi 
Et je n'peux pas, je n'sais pas 
Et je reste planté là 
 
La vie ne m'apprend rien 
 
Quand on a que l'amour 
 
Jacques Brel  
 
Paroles et Musique: Jacques Brel 1956 
autres interprètes: Dalida (1957), Star Academy (2001) 
 
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Quand on n'a que l'amour 
A s'offrir en partage 
Au jour du grand voyage 
Qu'est notre grand amour 
 
Quand on n'a que l'amour 
Mon amour toi et moi 
Pour qu'éclatent de joie 
Chaque heure et chaque jour 
 
Quand on n'a que l'amour 
Pour vivre nos promesses 
Sans nulle autre richesse 
Que d'y croire toujours 
 
Quand on n'a que l'amour 
Pour meubler de merveilles 
Et couvrir de soleil 
La laideur des faubourgs 
 
Quand on n'a que l'amour 
Pour unique raison 
Pour unique chanson 
Et unique secours 
 
Quand on n'a que l'amour 
Pour habiller matin 
Pauvres et malandrins 
De manteaux de velours 
 
Quand on n'a que l'amour 
A offrir en prière 
Pour les maux de la terre 
En simple troubadour 
 
Quand on n'a que l'amour 
A offrir à ceux-là 
Dont l'unique combat 
Est de chercher le jour 
 
Quand on n'a que l'amour 
Pour tracer un chemin 
Et forcer le destin 
A chaque carrefour 
 
Quand on n'a que l'amour 
Pour parler aux canons 
Et rien qu'une chanson 
Pour convaincre un tambour 
 
Alors sans avoir rien 
Que la force d'aimer 
Nous aurons dans nos mains, 
Amis le monde entier 
 
 
En apesanteur  
 
J'arrive à me glisser  
Juste avant que les portes ne se referment  
Elle me dit "quel étage"  
Et sa voix me fait quitter la terre ferme  
Alors  
Les chiffres dansent  
Tout se mélange  
Je suis en tête-à-tête avec un ange  
 
En apesanteur  
Pourvu que les secondes soient des heures  
En apesanteur  
Pourvu qu'on soit les seuls  
Dans cet ascenseur  
 
Elle arrange ses cheveux  
J'ai le coeur juste au bord des yeux  
Et sans la regarder je sens la chaleur  
D'un autre langage  
Alors  
Les yeux rivés  
Sur les étages  
Pourvu que rien n'arrête le voyage  
 
En apesanteur  
Pourvu que les secondes soient des heures  
En apesanteur  
Pourvu qu'on soit les seuls  
Dans cet ascenseur  
Dans cet ascenseur  
 
J'arrive à me glisser  
Juste avant que les portes ne se referment  
 
En apesanteur  
Pourvu que les secondes soient des heures  
En apesanteur  
Pourvu qu'on soit les seuls  
Dans cet ascenseur  
 
En apesanteur  
Pourvu que les secondes soient des heures  
En apesanteur  
Pourvu qu'on soit les seuls  
Dans cet ascenseur . 
 
 
Amsterdam 
 
Paroles et Musique: Jacques Brel 1964 "Olympia 64" 
autres interprètes: Isabelle Boulay 
 
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Dans le port d'Amsterdam 
Y a des marins qui chantent 
Les rêves qui les hantent 
Au large d'Amsterdam 
Dans le port d'Amsterdam 
Y a des marins qui dorment 
Comme des oriflammes 
Le long des berges mornes 
Dans le port d'Amsterdam 
Y a des marins qui meurent 
Pleins de bière et de drames 
Aux premières lueurs 
Mais dans le port d'Amsterdam 
Y a des marins qui naissent 
Dans la chaleur épaisse 
Des langueurs océanes 
 
Dans le port d'Amsterdam 
Y a des marins qui mangent 
Sur des nappes trop blanches 
Des poissons ruisselants 
Ils vous montrent des dents 
A croquer la fortune 
A décroisser la lune 
A bouffer des haubans 
Et ça sent la morue 
Jusque dans le cœur des frites 
Que leurs grosses mains invitent 
A revenir en plus 
Puis se lèvent en riant 
Dans un bruit de tempête 
Referment leur braguette 
Et sortent en rotant 
 
Dans le port d'Amsterdam 
Y a des marins qui dansent 
En se frottant la panse 
Sur la panse des femmes 
Et ils tournent et ils dansent 
Comme des soleils crachés 
Dans le son déchiré 
D'un accordéon rance 
Ils se tordent le cou 
Pour mieux s'entendre rire 
Jusqu'à ce que tout à coup 
L'accordéon expire 
Alors le geste grave 
Alors le regard fier 
Ils ramènent leur batave 
Jusqu'en pleine lumière 
 
Dans le port d'Amsterdam 
Y a des marins qui boivent 
Et qui boivent et reboivent 
Et qui reboivent encore 
Ils boivent à la santé 
Des putains d'Amsterdam 
De Hambourg ou d'ailleurs 
Enfin ils boivent aux dames 
Qui leur donnent leur joli corps 
Qui leur donnent leur vertu 
Pour une pièce en or 
Et quand ils ont bien bu 
Se plantent le nez au ciel 
Se mouchent dans les étoiles 
Et ils pissent comme je pleure 
Sur les femmes infidèles 
Dans le port d'Amsterdam 
Dans le port d'Amsterdam. 
 
 
Aller plus haut 
 
Paroles et Musique: J.Kapler 1999 
© 1999 Disque Columbia / Sony Music Entertainement? 
 
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J'ai tant caché mes différences 
Sous des airs ou des faux semblants 
J'ai cru que d'autres pas de danses 
Me cacheraient aux yeux des gens 
Je n'ai jamais suivi vos routes 
J'ai voulu tracer mon chemin 
 
Pour aller plus haut, aller plus haut 
Ou l'on oublie ses souvenirs 
Aller plus haut, aller plus haut 
Se rapprocher de l'avenir 
 
J'ai perdu tant de fois la trace 
Des rêves pour lesquels je vivais 
Je n'ai pas su te dire je t'aime 
Seulement te garder 
Il faut aussi dire ses doutes 
Et les poser dans d'autres mains 
 
Pour aller plus haut, aller plus haut 
Et dessiner des souvenirs 
Aller plus haut, aller plus haut 
Et croire encore à l'avenir 
 
Pour aller plus haut, aller plus haut 
Et dessiner des souvenirs 
Aller plus haut, aller plus haut 
Et croire encore à l'avenir 
Aller plus haut, aller plus haut 
Se rapprocher de l'avenir. 
 
Casser la voix: 
 
Paroles: Patrick Bruel et Gérard Presgurvic. Musique: Patrick Bruel 
note: Reprise Patricia Kaas & David Hallyday & Garou dans l'album "Enfoirés en 2000" 
 
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Si, ce soir, j'ai pas envie d' rentrer tout seul, 
Si, ce soir, j'ai pas envie d' rentrer chez moi, 
Si, ce soir, j'ai pas envie d' fermer ma gueule, 
Si, ce soir, j'ai envie d' me casser la voix, 
Casser la voix, Casser la voix, 
Casser la voix, Casser la voix. 
 
J' peux plus croire tout c' qui est marqué sur les murs. 
J' peux plus voir la vie des autres même en peinture. 
J' suis pas là pour les sourires d' après minuit. 
M'en veux pas, si ce soir j'ai envie 
 
D' me casser la voix, Casser la voix, 
Casser la voix, Casser la voix. 
Les amis qui s'en vont 
Et les autres qui restent. 
Se faire prendre pour un con 
Par des gens qu'on déteste, 
Les rendez-vous manqués 
Et le temps qui se perd 
 
Entre des jeunes usés 
Et des vieux qui espèrent 
 
Et ces flashes qui aveuglent, 
A la télé chaque jour, 
Et les salauds qui beuglent 
La couleur de l'amour 
Et les journaux qui traînent, 
Comme je traîne mon ennui, 
La peur qui est la mienne, 
Quand je m' réveille la nuit, 
Casser la voix, Casser la voix, 
Casser la voix, Casser la voix. 
 
Et les filles de la nuit 
Qu'on voit jamais le jour 
Et qu'on couche dans son lit 
En appelant ça d' l'amour 
Et les souvenirs honteux 
Qu'on oublie d'vant sa glace 
 
En s' disant "J' suis dégueu 
Mais j' suis pas dégueulasse !" 
Doucement les rêves qui coulent 
Sous l' regard des parents 
 
Et les larmes qui roulent 
Sur les joues des enfants 
 
Et les chansons qui viennent 
Comme des cris dans la gorge, 
Envie d' crier sa haine 
Comme un chat qu'on égorge, 
Casser la voix, Casser la voix, 
Casser la voix, Casser la voix. 
 
Si, ce soir, j'ai pas envie d' rentrer tout seul, 
Si, ce soir, j'ai pas envie d' rentrer chez moi, 
 
Si, ce soir, j'ai pas envie d' fermer ma gueule, 
Si, ce soir, j'ai envie d' me casser la voix, 
Casser la voix, Casser la voix, 
Casser la voix, Casser la voix. 
 
Fan: 
 
J'ai vécu sous des posters 
A me croire le seul à connaître 
Tout de vous 
J'en ai refait des concerts 
En rêvant de voir apparaître 
Marylou 
 
J'inventais des lettres à France 
En solitaire, en silence 
Si je n'ai pas su l'écrire 
Je voulais simplement te dire 
 
{Refrain:} 
Que si, si j'existe 
J'existe 
C'est d'être fan 
C'est d'être fan 
Si j'existe 
Ma vie, c'est d'être fan 
C'est d'être fan 
Sans répit, jour et nuit 
 
Mais qui peut dire je t'aime donc je suis 
 
J'en ai connu des hôtels 
En attendant un signe, un geste 
De ta part 
 
J'en ai suivi des galères 
Pris des trains, fait des kilomètres 
Pour te voir 
 
Mettre un nom sur un visage 
Derrière une vitre, un grillage 
Quelque chose à retenir 
Faire comprendre avant de t'enfuir 
 
{au Refrain} 
 
Mais qui peut dire je t'aime donc je suis 
 
Qui peut dire qu'il existe ? 
Et le dire pour la vie 
 
{au Refrain} 
 
C'est d'être fan 
C'est d'être fan 
Si j'existe 
J'existe 
C'est d'être fan 
C'est d'être fan 
 
C'est d'être fan 
C'est d'être fan 
Mais qui peut dire 
Je t'aime donc je suis 
Mais qui peut dire 
Donc je suis 
Donc je suis 
Qui peut dire ? 
Qui peut dire ? 
Pour la vie 
 
Je suis fan 
 
Avec le temps 
 
autres interprètes: Jane Birkin, Dalida (1971), Catherine Lara (Sol En Si 1999), Isabelle Boulay 
 
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Avec le temps... 
avec le temps, va, tout s'en va 
on oublie le visage et l'on oublie la voix 
le cœur, quand ça bat plus, c'est pas la peine d'aller 
chercher plus loin, faut laisser faire et c'est très bien 
 
avec le temps... 
avec le temps, va, tout s'en va 
l'autre qu'on adorait, qu'on cherchait sous la pluie 
l'autre qu'on devinait au détour d'un regard 
entre les mots, entre les lignes et sous le fard 
d'un serment maquillé qui s'en va faire sa nuit 
avec le temps tout s'évanouit 
 
avec le temps... 
avec le temps, va, tout s'en va 
mêm' les plus chouett's souv'nirs ça t'as un' de ces gueules 
à la gal'rie j'farfouille dans les rayons d'la mort 
le samedi soir quand la tendresse s'en va tout' seule 
 
avec le temps... 
avec le temps, va, tout s'en va 
l'autre à qui l'on croyait pour un rhume, pour un rien 
l'autre à qui l'on donnait du vent et des bijoux 
pour qui l'on eût vendu son âme pour quelques sous 
devant quoi l'on s'traînait comme traînent les chiens 
avec le temps, va, tout va bien 
 
avec le temps... 
avec le temps, va, tout s'en va 
on oublie les passions et l'on oublie les voix 
qui vous disaient tout bas les mots des pauvres gens 
ne rentre pas trop tard, surtout ne prends pas froid 
 
avec le temps... 
avec le temps, va, tout s'en va 
et l'on se sent blanchi comme un cheval fourbu 
et l'on se sent glacé dans un lit de hasard 
et l'on se sent tout seul peut-être mais peinard 
et l'on se sent floué par les années perdues- alors vraiment 
avec le temps on n'aime plus 
 
Je ne suis pas un héros: 
 
Je ne suis pas un héros 
 
Paroles et Musique: Daniel Balavoine 1980 "Un autre monde" 
© Editions Barclays-Morris 
autres interprètes: Johnny Hallyday 
 
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Les coups de poings dans l'âme 
Le froid de la lame qui court 
Chaque jour me pousse 
Un peu plus vers la fin 
Quand je monte sur scène 
Comme on prend le dernier train 
 
Même les soirs de drame 
Il faut trouver la flamme qui brûle 
Pour toucher les femmes 
Qui me tendent les mains 
Qui me crient qu'elles m'aiment 
Et dont je ne sais rien 
 
C'est pour ça qu'aujourd'hui 
Je suis fatigué 
C'est pour ça qu'aujourd'hui 
Je voudrais crier 
 
Je n'suis pas un héros 
Mes faux pas me collent à la peau 
Je n'suis pas un héros 
Faut pas croire ce que disent les journaux 
Je n'suis pas un héros 
Un héros 
Je n'suis pas un héros 
Mes faux pas me collent à la peau 
Je n'suis pas un héros 
Faut pas croire ce que disent les journaux 
Je n'suis pas un héros 
Un héros 
 
Quand les cris de femmes 
S'accrochent à mes larmes je sais 
Que c'est pour m'aider 
A porter tous mes chagrins 
Et je me dis qu'elles rêvent 
Mais ça leur fait du bien 
 
A coups de poings dans l'âme 
J'ai trouvé la trame qu'il faut 
Pour mourir célèbre 
Il ne faut rien emporter 
Que ce que les autres 
N'ont pas voulu garder 
 
C'est pour ça qu'aujourd'hui 
Je suis fatigué 
C'est pour ça qu'aujourd'hui 
Je voudrais crier 
 
Je n'suis pas un héros 
Mes faux pas me collent à la peau 
Je n'suis pas un héros 
Faut pas croire ce que disent les journaux 
Je n'suis pas un héros 
Un héros 
Je n'suis pas un héros 
Mes faux pas me collent à la peau 
Je n'suis pas un héros 
Faut pas croire ce que disent les journaux 
Je n'suis pas un héros 
Un héros 
 
Je n'suis pas un héros 
Je n'suis pas un héros 
Un héros 
Je ne suis, je n'suis pas un héros 
Je n'suis pas un héros 
Un héros 
Je ne suis, je n'suis pas un héros 
Je n'suis pas un héros 
 
 
 
Les mots bleus 
 
Il est six heures au clocher de l'église 
Dans le square les fleurs poétisent 
Une fille va sortir de la mairie 
Comme chaque soir je l'attends 
Elle me sourit 
Il faudrait que je lui parle 
A tout prix 
 
Je lui dirai les mots bleus 
Les mots qu'on dit avec les yeux 
Parler me semble ridicule 
Je m'élance et puis je recule 
Devant une phrase inutile 
Qui briserait l'instant fragile 
D'une rencontre 
D'une rencontre 
 
Je lui dirai les mots bleus 
Ceux qui rendent les gens heureux 
Je l'appellerai sans la nommer 
Je suis peut-être démodé 
Le vent d'hiver souffle en avril 
J'aime le silence immobile 
D'une rencontre 
D'une rencontre 
 
Il n'y a plus d'horloge, plus de clocher 
Dans le square les arbres sont couchés 
Je reviens par le train de nuit 
Sur le quai je la vois 
Qui me sourit 
Il faudra bien qu'elle comprenne 
A tout prix 
 
Je lui dirai les mots bleus 
Les mots qu'on dit avec les yeux 
Toutes les excuses que l'on donne 
Sont comme les baisers que l'on vole 
Il reste une rancœur subtile 
Qui gâcherait l'instant fragile 
De nos retrouvailles 
De nos retrouvailles 
 
Je lui dirai les mots bleus 
Ceux qui rendent les gens heureux 
Une histoire d'amour sans paroles 
N'a pas besoin du protocole 
Et tous les longs discours futiles 
Terniraient quelque peu le style 
De nos retrouvailles 
De nos retrouvailles 
 
Je lui dirai les mots bleus 
Ceux qui rendent les gens heureux 
Je lui dirai tous les mots bleus 
Tous ceux qui rendent les gens heureux 
Tous les mots bleus 
 
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(c) Stéphanie MARIE - Créé à l'aide de Populus.
Modifié en dernier lieu le 14.05.2004
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